Modérateur: Equipe Courses et entraînement
patate a écrit:Bonjour
D'un naturel curieux, surtout lorsque cela concerne l'entrainement, j'aurais voulu que l'on m'explique clairement ce que l'on entend par surcompensation, je dis bien clairement car souvent je décroche au bout de la deuxième phrase.
Cela concerne toutes les compétitions?
Merci de vos éclaircissements
patate a écrit:Bonjour
Merci pour le lien et les explications
exemple : j'ai un 10 km samedi soir, quelle séance et quand je dois la faire pour profiter de ce phénomène?
jp75018 a écrit:Après cela pourra peut-être faire gagner 15 ou 20 secondes sur un 10 bornes, ou faire perdre une bonne minute... Mais qui ne tente rien...![]()
patate a écrit:Bonjour
D'un naturel curieux, surtout lorsque cela concerne l'entrainement, j'aurais voulu que l'on m'explique clairement ce que l'on entend par surcompensation, je dis bien clairement car souvent je décroche au bout de la deuxième phrase.
Cela concerne toutes les compétitions?
Merci de vos éclaircissements
PA77 a écrit:Noël, tu fais du '' jus'' tout bêtement
PA77 a écrit:Noël, tu fais du '' jus'' tout bêtement
patate a écrit:PA77 a écrit:Noël, tu fais du '' jus'' tout bêtement
Oui Pierre andré, mais avant de faire du jus, j'ai fait une belle séance VS 10 Km d'ou ce changement; avant je réduisait toute la dernière semaine,mais cette fois ci
Nine14 a écrit:Voilà un des points sur lesquels je me base pour préconiser de s'entraîner de manière intense jusqu'à qqs jours (3 à 4 au maximum) de la compétition.
Yayoye a écrit:Nine14 a écrit:Voilà un des points sur lesquels je me base pour préconiser de s'entraîner de manière intense jusqu'à qqs jours (3 à 4 au maximum) de la compétition.
Attention à ne pas confondre surcompensation (qui est un effet d'1 séance d'entraînement) et période d'affûtage (tapering en bon français), qui est la période précédent une course (typiquement 2 semaines avec marathon) où on allège l'entrainement (il ne s'agit pas de ne plus faire d'intensité mais de faire moins de volume).
L'un n'empêche pas l'autre : tu peux t'affuter en diminuant le volume (et non le contenu) de tes séanes d'entraînement (et ainsi arrivé frais au marathon), et faire une séance à J-2, J-3 avec de l'allure marathon (assez pour surcompenser, pas trop non plus pour se vider) pour bénéficier de l'effet de surconpensation le jour J.
Hikaru a écrit:...Sans données étayées (mais vous êtes là), j'ai pris l'habitude de gérer un "affutage" sur 3 semaines.
En fait, ma semaine la plus légère est souvent à s-3 : je récupère de l’entrainement cumulé en gardant 3 sorties tranquille de 45min-1h
Ensuite, je reprends un peu de volume pour faire une semaine quasi normale avant le jour J (par exemple, avant un marathon, je passe 2 séances de 20 km lundi + mercredi ...
patate a écrit:Bonjour
Un cas pratique, car je m'y perds
- j'ai un 10 km dimanche à 15h00
quelles séances me conseillerez vous la dernière semaine, sachant que je cours 4 fois par semaine?
patate a écrit:Bonjour
Un cas pratique, car je m'y perds
- j'ai un 10 km dimanche à 15h00
quelles séances me conseillerez vous la dernière semaine, sachant que je cours 4 fois par semaine?
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