La première explication concerne les nouveaux formulaires sur les déclarations de Records et là, tous le monde va pleurer, car je me suis aperçu en terme de variante, que désormais, la signature de la Fédération Membre est obligatoire, ce qui n'était pas le cas avant
Applicable au 1er janvier 2019, cela expliquerait peut-être pourquoi les 6 jours de France ne s'était pas retrouvé dans la liste des résultats IAU. En clair, au niveau National, comme International, tout est verrouillé. Je m'explique, substantiellement, la FFA dite Maison Mère ne reconnait dans ces règlements dit généraux, car c'est les seuls à prendre en compte les épreuves de 100 m et 24h, ce qui créer des zones de contradiction avec le reste des autres types d'épreuves qu'elle a obligation étant Membre à mettre (ndr : le cas s'était présenté sur piste d'athlé traditionnel par le passé).
A partir de là, ce sera facile à nous bloquer au niveau national, reste la solution que j'avais faite il y a 30 ans, courir à l'étranger, au moins les épreuves autres que le 100 et le 24 ne le seront pas et ceux qui iront là-bas n'auront pas tord
Au moins la perf sera validé De plus récemment, la politique de l'IAU à virer en début d'année concernant les Labels. Le désormais nouveau Comité Labels qui remplace Jan VANDENDRIESSCHE qui a démissionné en fin d'année dernière, va instauré dans le même cadre que celui de la WA, un nombre limité de Label dit IAU. On va donc ce retrouver avec une possibilité réduite en cas de Record, car, c'est très aléatoire, sauf quand c'est organisé par des grandes marques
et au niveau nationale, il y aura de forte chance que cela soit réservé qu'au épreuve de 100 Km et de 24h, autrement dit, rien de bon pour l'orientation des épreuves d'Ultra-distances.En tous cas, il y en a qui ne sont pas Ultra-marathonien dans l'âme
Voilà pour les changements significatifs concernant les coureurs, sans compter le formulaire dans le cadre de validation des chaussures, les 2 autres changements concerne des ajustements dans la Constitution.
